Présentation de
Yu Kanda
« Il existe de ces nuits où j'ai envie de courir, m'enfuir le plus loin possible. »
« Certaines nuits, je voudrais mourir. »
« Je ne rêve plus que de ça. »
« Je ne peux m'endormir qu'en y croyant. »
« Si je me lève quand même après un si mauvais sommeil,»
« Quand j'ouvre les yeux, il n'y a qu'une chose que je sais: j'y arriverai. »
« Mes cauchemars ne m'apprennent rien de plus que ce que j'ai déjà perdu. »
« Je me réveille en pleine nuit pour crier. »
« Le passé hante mon esprit, quand il est à la limite du sommeil. Je n'en ai que faire. »
« Le clair de lune me fait sans cesse ressasser les visages de mon amour »
« Très tard le soir, mon esprit est mon propre Némésis. »
« Ce ne sont pas les rayons du soleil qui me tirent du sommeil, mais ma propre souffrance. »
Voici le conte de...
Yu Kanda | » Prénom : Yu Kanda » Sexe : c'est un beau jeun Homme a l'allure mystérieuses. » Nationalité Il est japonais. » Âge : 19 ans » Lieu d'habitation : Je suis indépendant et nulle m'enlèvera ma liberté . » Poste : Gardien de nuit » Religion : Bouddhiste » Qualités : Je suis Protecteur avec tout ceux qui un jour me tiendra a cœur ou une personne en danger qui mes inconnu. Je suis une personne de confiance. Je suis aussi courageux. Au premier regard je suis quelqu'un de calme. » Défauts : Je ne pourrai vous parler qu'à travers ma Froideur. je suis aussi mystérieuses. Je suis distant. Mais aussi très secret. Et réservé. Mais surtout Peu sociable je déteste entre entoures de personne je me sent en paix que qu'en je suis seul pré d'autrui je m'énerve très facilement alors attention a vous un regard un mot de trop et je vois rouge. » Activités/Hobbies : Art matériaux & méditations. » Particularités : Légèrement susceptible. Il préfère de loin sa propre compagnie que celle des autres. Il déteste tout contacts physiques quel qu'il soit. |
Il était une fois...
« Toute les belles histoires commencent par il était une fois.. Et finissent par il se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, car tout ce qui s'en suit n'est pas aussi enviable. Je revois sous mes paupières closes, La nuit, les voit du passer, des tempêtes, des cries me revaille, le matin, dans le gras du sommeil, on les aligne au poteau les vivants qu’on aime, savez. Parfois, on les passe en revue, on se forge un souvenir ancré dans une mémoire virtuelle qui n’existe que dans l’instant éphémère d’une pensée hâtive, après tout, ils sont nombreux ces êtres qui nous font voir les autres, qui nous renvoie notre triviale image d’amour. Souvent, c’est un coup de fil qui nous fait bondir le cœur. On ne sait pas qui appelle, on ne sait pas pourquoi. Alors, les battements martèlent, ma bien aimer, qui est mort ? On s’y rend tristement, près de la table sur lequel repose le médiocre assassin, au bout de son fil entortillé. On décroche au cas où. Après quoi le « cas où » s’applique bel et bien, alors qu’on était en réalité persuadé d’un utopique contraire, et ce sont les murs qui s’écroulent, les volets qui claquent, le sang qui s’évapore d’un corps trop vide. Putride. On s’enferme dans un confiteor, on est déjà mort. On connaît la chaire blanche, des mains croisées sur le satin –celui du sapin-. On connaît les matinées d’hivers les plus froides, leur brise cruelle qui assèchent les pores, qui gèlent le cœur, l’humeur, les heures. Et le tic – tac est une hantise. Des jours. Des Années. Pour oublier, qui a été, qui sera, et qui ne sera plus, en accumulant le temps, les secondes unes à unes, Puis on se remémore. On se dit que finalement, t’as qu’à m’envoyer des chrysanthèmes, au lieu d’appeler. J’irais les semer du haut du pont sur le périphérique, un peu, pas du tout, jamais plus.
Mais il existe chose bien plus triste encore.
Celle de perdre quelqu’un dans le malaise qu’il s’afflige. Non, kai, Ce bras vaincu ne tombera plus. On n’acceptera plus, pas. Il se posera, tu verras. Parce que je le porterai, du moins, si j’en suis capable. Tu sais que je ne vis qu’au travers de tes petites perles brunes qui me fixent. Que le temps n’y changerait pas grand-chose, parce que nous, c’est l’osmose, après tout, toi, moi, rien ne nous oppose. Ces draps trop froids pour nous, cette chambre triste et grise, c’est toi qui les illuminez, On t’a raconté comme à moi l’histoire de la lumière au bout du tunnel, hein, mon petit Amour qui tremble ? Si seulement tu pouvais, l’espace d’un instant, ne serait-ce qu’imaginer a quelle poing tu me manque.
Je veux rien qu'une foi te serre contre moi, cessons les conversations, établissons une trêve, je ne sais pas, peut être pourrait – on dès lors, songer à nos rêves ?
J’étais mal. Non, je veux dire, j’étais content et nerveux. Un cocktail qui, une fois renversé, rendait le terrain bien plus glissant qu’il n’y paraissait. Kei était frêle, pâle, une petite chose limpide que l’on aimait protéger et qui se métamorphosait en rose au fur et à mesure que la journée avançait. Un rose en fin de vie à qui je promettais une renaissance prochaine, parce qu’on ne peut pas observer mourir ce genre de personnes dont l’enfance ne se termine jamais. On ne laisse pas crever de petites mains maigres d’enfants chétifs, aux ongles rongés, ni ces discrètes joues de nourrissons bien nés. Il faut accepter, en fin de compte, tu vois. Accepter et passer à autre chose, histoire de tourner la page, de finir le bouquin et d’en contempler le titre, histoire de cracher contre lui un venin bien plus mortel qu’aucun autre ne le sera jamais, petit Ange. Ne pas se laisser couler, éclore, repousser les pétales et observer le soleil, cet astre vicieux qui exagère tout, avec sa prétentieuse lumière. Le danger c’est pas toi, Kei . Le danger c’est presque toujours l’autre, la fleur bleue qui crève de soif.
Ne m’en veux pas, s'il te plaît.
" J'étais comme toi dans la vie de tous les jours. Un peu perdu, un peu ailleurs parce qu'ici ca sera jamais là bas. "
Jamais avec les gens qui t'ont chéri, nourri, élevé. Avec les personnes qui partagent tout jusqu'à ton propre sang. Je me suis tourné sur le dos, et puis j'ai fini par m'asseoir, genoux contre terre, un bien fastidieux duel. Quatre ans. C'est une petite vie, non ? Quatre ans, c'est un gosse à la maternelle, une maison, un appart'. Quatre ans tu as toujours quelque chose à faire. Quatre ans pour en arriver là, une épine dans le coeur.
J'ai agrandi mes bras jusqu'à attraper du bouts de l'index la couette repliée à l'extrémité du lit. j'ai compté les multiples plis de son petit haut, constaté la finesse de sa nuque. Puis j'ai tiré l'édredon sur son petit corps. En parfait bon-à-marier que je suis, j'ai même recouvert ses épaules, ses pieds gelés, ses oreilles. Après tout. On s'en fout que j'aille mal. Ca arrive même aux gens biens, même si c'est pas toujours à eux, de trinquer de l'ignorance des autres. Si ça se passe mal pour moi, je n'ai qu'à rien leur dire. Préserver le secret, prendre l'amour et savoir le consumer, le lire dans le bon sens, après tout, si on a peur de s'égarer, on achètera un Gps, et s'il tombe en panne pour le retour, il nous restera la carte, tu sais, la feuille blanche qu'il suffira de remplir.
Ma main vînt entourer son menton fragile. Le temps d'un baiser sur le front. Je posais mon front contre le sien, avec un rictus triste qui rendait mes yeux vitreux et ma voix grave. Sourire triste, sourcil levé, soupire las.
" Pour que je puisse le faire, il faudrait que le bon dieu de là haut, il me la rende mon ange. Je ne laisserai pas. C'est trop tard. C'est trop tau, Ça rend dépendant. C'est un pas en avant, pour dix pas de sur-place, c'est s'appuyer sur l'autre, ne rien faire, observer, tomber, envoûter. C'est tout un sortilège, comprenez, que de savoir aimer.
Le silence, s'il te plait.Tu sais, je suis comme toi, au fond. Moi, je préfère le silence, quitte à froisser son égo, pas grave : j'y filerai un fer à repasser. Juste que tu vois, moi aussi, dans toute cette merde, la seule chose que je préfère faire, c'est serai te laisser poser l'oreille sur mon cœur et te permettre d'entendre à quel point tu comptes pour moi. Car ça, contrairement à la lumière, c'est quelque chose que tu ne pourras même pas tenter d'imaginer un jour. Mon doux, mon tendre, mon merveilleux Amour."
C’est ça, Kanda, il ne te reste plus que ça le passer mais le future comment puisse le réaliser.
Ça te détruit petit a petit, ça t’étouffe, tu repenses à tout ça tout le temps. Dans tes rêve la nui le joue, la vie m'est difficile à vivre. Dur de se relever après tout les coups qui m'ont été portés, dur de na pas craquer. Je marche seule. Personne pour guider mes pas. Dans mon lit la nuit je compte les heures. Et je sais que personne ne voit. Le chagrin qu'il y a au fond de moi. La douleur des nuits et ces cris que j'étouffe à chaque fois. Je n'ai pas le droit de dire combien je souffre.
Regarde-le passer, il t'obsède, il t'attire dans le n'aient.
Ils vécurent heureux et...
Comment s'est passée votre arrivée à Espérance ? Il y a combien de temps était-ce ? Comment se rythme votre vie maintenant ? Comment vous comportez vous avec les autres habitants ? Avec le directeur ? Que pensez vous d'Espérance ? Du reflet ? 15 lignes vous seront demandées dans cette description.
La princesse eût par ce moyen toutes les perfections inimaginables...
Vous marchez dans les corridors au moment vous l'apperçevez. Lui. Ce garçon aux allures si mystérieuses, Déjà, les stéréotypes que vous pourriez vous faire à son sujet. Ce doit être un voyou, comme certains dirais. Et bien, non, C'est tout à fait le contraire Bizarrement. Un dur au coeur tendre qui respecte la vie. C'est probablement ce côté qui fait en sorte qu'on peut l'aborder généralement facilement, mais pas facile malgré tout Il n'accorde sa confiance que très rarement. Voir jamais.
Froid
Kanda est un jeune homme qui ne montre aucunes de ses émotions. Il parle froidement et sèchement mais toujours avec politesse. Kanda est totalement impassible. Son visage ne montre vraiment aucune émotion, aucun de ses sentiments ne ressort. C’est un peu flippant quand même.
Distant
Je vous le dis de suite, Kanda n’aime pas la compagnie, enfin pas trop et cela dépend laquelle aussi. Le jeune homme n’est pas très bavard et c’est peut être bien pour cela qu’il s’éloigne des personnes. Le silence sont des formes de langage qu'il maîtrise très bien. Cependant, cherchez-le et vous finirez par le trouver. Aillant grandit dans un lieu où la violence était omniprésente la tristesse et la mort, il sait très bien comment se montrer brutal, voir même bestial à la limite. Il doit obligatoirement avoir une raison pour tabasser qui que ce soit, si vous le chercher, mais ne vous en faites pas. Il ne mord pas, ou presque. Étant toujours en quête de liberté, il ne reculera devant rien pour l'affirmer et se bat pour cette liberté c'est un élément important pour lui. Il adore absolument tout ce qui et art matériaux et méditation, et ce qui sort de l'ordinaire que ce soit une personne, un style ou bien une façon de voir les choses. Ne pas se conformer aux normes c'est ce qu'il prône en second point, juste après la liberté.
Protecteur
Kanda ne supporte pas qu’on fasse du mal, qu’on blesse une personne, quelle qu’elle soit. C’est pour cela que le jeune homme sera toujours prêt à défendre ces personnes, même s’il ne les connaît pas. Kanda est une personne sur qui on peut compter, il prendra toujours votre défense, vous aidera tout le temps, sera à votre écoute même si parfois, il ne vous répond rien. Kanda est une personne en qui on peut avoir confiance.
Courageux
Kanda ne s’avoue jamais battu et persévère autant qu’il le faut. Il se bat jusqu’au bout pour arriver à faire ce qu’il veut. Même si il rencontre des difficultés, ou bien qu’il soit en danger ou quelqu’un d’autre, le jeune homme fonce et fait vraiment preuve de courage. Il ne se démonte devant rien, il affronte de face le problème et essaye de le régler, d’abord avec calme puis après, ça viendra aux mains si ça ne fonctionne pas.
On ne trouve guère un grand esprit qui n'ait un grain de folie.
Je n’ais rien a dire , a part que ma vie se résume en deux mots : Solitaire - Solidaire, je retrouve toujours quelques choses qui correspond a ce que je suis.
Miroir, miroir dis-moi qui est la plus belle ?
Le physique de ce personnage revoi très bien l'image qu'il donne de lui à ceux qui le rencontre. Ses cheveux noirs ténèbres descendent gracieusement jusqu'à ses épaule . Ses yeux aussi ténébreux que sa chevelure ne laissent aucunes émotions les pénétré. Son regard et perçant et terrifiant. Peu d'élève ont le courage de le regarder dans les yeux. Son corps qui semblent frêle à cause de ses vêtements et en fait musclé et bien proportionné. Son visage volontaire et séduisant fait renoncer toutes demandes étant donné ses traits dures et sévères. Malgré sa beauté, le réflexe des gens est la fuite, et non l'approche!. Il porte un tatouage représentant le symbole OM ॐ sur sa poitrine près de son coeur,tout en fait un être fascinant. On aimerait pouvoir l'approcher, discuter, tisser des liens avec lui, mais l'on ne peut pas réellement.... .
De l'autre côté du miroir...
» Prénom/Pseudo : Himmie
» Âge : 18 ans
» Où as-tu connu Je de l'âme ? pare une amie.
» Comment le trouves-tu ? super.
» Expérience en RP : Plusieurs année de rps au conteur.
» Présence :
» Code réglement :
» Code contexte :